Une étude sur les pratiques de communication révèle une nouvelle tendance au Maroc: la complémentarité entre la presse et le marketing d’influence devient la clé d’efficacité pour les marques. Les détails.
Les médias parviennent-ils à maintenir leur rôle de référence face à la montée en puissance des nouveaux acteurs de la communication?
Une étude réalisée par Com’Along Agency, agence spécialisée dans les relations publiques met en lumière l’évolution des stratégies de communication au Maroc et les nouvelles attentes des publics.
Menée auprès d’un échantillon de 394 répondants, en plus de plusieurs entretiens avec des professionnels de la communication et des médias, l’étude montre que 51,7% des participants se disent plus influencés par des campagnes hybrides (RP+unfluence), alors que 92,8% considèrent la presse traditionnelle comme le canal le plus fiable, précise un communiqué.
Par tranches d’âges, les 18–34 ans plébiscitent l’influence (280 votes), tandis que les professionnels et seniors privilégient les RP ou les approches combinées.
Par secteur, les médias ont plus d’impact sur les domaines de la banque, la santé et l’éducation. Par ailleurs, la mode, la beauté et le tourisme se penchent plus vers l’influence dominante. Finalement, l’approche hybride a plus de poids dans les secteurs agroalimentaire, l’immobilier, les nouvelles technologies, l’hygiène et la beauté.
Les résultats de de cette étude met ainsi en évidence une nouvelle approche en matière de stratégies de communication au Maroc: Les marques sont appelées à repenser leurs modèles en intégrant de manière cohérente les deux leviers, afin de répondre aux attentes d’un public multicanal, exigeant et en quête
d’authenticité, un public exigeant la crédibilité éditoriale tout en accordant une place majeure à la proximité émotionnelle.
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